TopCoach https://preprod.top.coach Tue, 19 Nov 2024 09:52:41 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.1 https://preprod.top.coach/wp-content/uploads/2024/10/cropped-logo-topcoach-32x32.png TopCoach https://preprod.top.coach 32 32 TOP 5 des conseils pour réussir le lancement de son app B2B. https://preprod.top.coach/top-5-des-conseils-pour-reussir-le-lancement-de-son-app-b2b/ Wed, 09 Nov 2022 13:47:00 +0000 https://top.coach/?p=20747 Besoin de conseils pour réussir le lancement d’une app B2B ? Dans ce nouvel article consacré au sujet (cliquez ici l’article précédent), nous proposons 5 points clés à prendre en compte afin de garantir un bon lancement de projet. Nos tips couvrent un champ assez large allant de la nécessité de recruter et d’embarquer des relais au bilan de post-lancement. Bienvenue dans ce nouvel article !

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Besoin de conseils pour réussir le lancement d’une app B2B ? Dans ce nouvel article consacré au sujet (cliquez ici l’article précédent), nous proposons 5 points clés à prendre en compte afin de garantir un bon lancement de projet. Nos tips couvrent un champ assez large allant de la nécessité de recruter et d’embarquer des relais au bilan de post-lancement. Bienvenue dans ce nouvel article !

TIPS #1 : PUBLIEZ ET VARIEZ VOS PREMIÈRES COMMUNICATIONS

L’enjeu des publications au lancement est primordial : il s’agit d’informer clairement et simplement les potentiels utilisateurs sur la philosophie et la ligne éditoriale du projet.

Pour se faire, commencez par rédiger un article de bienvenue qui expose les promesses de votre application, sa spécificité, ses valeurs et ses potentiels développements. Par ce biais, vous présentez le cap vers lequel tend votre application tout en laissant entrevoir l’évolution du projet dans le futur. Cela permet aux utilisateurs de se positionner pour ou contre l’offre, mais aussi de se projeter en envisageant les éventuels bénéfices qu’ils pourront en tirer.

D’autre part, un peu de concret est toujours plus évocateur que de longs discours ! Les premières communications doivent être courtes, bien rythmées et percutantes. Pourquoi ne pas réaliser une vidéo de présentation montrant l’utilisation de l’app en situation ? Cela permettrait de montrer l’interface et les différentes fonctionnalités tout en variant les formats pour exploiter au mieux le référencement naturel d’internet.

Ainsi les premières communications illustrent, indirectement, la politique de développement web qui garantit la visibilité de l’app.

TIPS #2 : PRÉVOYEZ LA COMMUNICATION POST-LANCEMENT !

Anticiper la communication post-lancement permet de concevoir toute la stratégie à mettre en place après le lancement de l’application B2B. Que ce soit au niveau des supports de communications que des messages, tout doit être calculé pour paraître crédible aux yeux des clients. Cela passe nécessairement par des réflexions stratégiques mais aussi par du benchmarking, de la lecture d’articles et des recueils de témoignages. Parmi les nombreuses tâches à faire en parallèle, ce temps de planification constitue l’opportunité parfaite pour se changer les idées après une bonne journée de travail.

D’autre part, la communication post-lancement passe par des actions très concrètes ! Il faut préparer des visuels, rédiger des newsletters et des posts pour les réseaux sociaux, prévoir des webinaires et autres évènements dédiées. C’est une charge de travail importante qui permet, à terme, un gain de visibilité et d’engagement des clients grâce à un rythme de parution soutenu.

Mais cumuler le travail de réflexion et de rédaction a deux conséquences. Cela limite le taux de rejet d’une mauvaise publication lors du lancement, et offre des marges de manœuvre suffisantes pour adapter sa stratégie aux besoins réels des clients. Bref, en prévoyant sa communication post-lancement, on gagne en résilience !

TIPS #3 : RECRUTEZ ET EMBARQUEZ DES RELAIS !

La première étape lorsque l’on se penche sur la question des relais, est d’identifier les besoins en termes de déploiement. En établissant une liste des impératifs, on identifie les profils qu’il reste à recruter et maximise ainsi les chances de tomber sur les personnes adéquates. On n’a plus qu’à entrer en phase de recrutement.

Durant cette phase, il faut faire en sorte de recruter les profils qui croient profondément dans le projet ! On a tendance à vouloir recruter au plus vite pour accélérer le déploiement. Mais autant avoir de bons éléments dès le début pour éviter de mauvaises surprises… quitte à retarder le lancement de l’application ! Le pire étant de s’entourer de personnes mollement convaincues qui ne feront pas de bons relais auprès des clients et des utilisateurs.

De fait, la motivation des ambassadeurs est un facteur clé à ne pas mettre de côté dans le processus de recrutement sur l’app ! Une fois l’équipe unie et les besoins identifiés, il faut attribuer un rôle à chaque relais en fonction de son périmètre. Cela va de l’envoi de communication à des analyses de statistiques en passant par de la prospection. Bref, les missions sont nombreuses !

Pourquoi ne pas mettre en place des outils de travail communs ? Cela permettra de centraliser les tâches de chacun de sorte à garder une visibilité sur les échéances de chacun des relais.

Ainsi en donnant un accès et des outils de travail, on embarque les relais en leur donnant la matière suffisante pour travailler. Cela crée une dynamique de travail saine qui maximise les chances de succès pour le lancement de l’application B2B !

TIPS #4 : IDENTIFIEZ LES INDICATEURS DE SUCCÈS ET UTILISEZ LA MÉTHODE S.M.A.R.T !

L’application s’apprête à être lancée mais comment mesurer la réussite de son déploiement ? Il faut se recentrer sur ses objectifs en se demandant : « À quel moment puis-je considérer que mon projet est un franc succès ? » Partant de cela, il faut établir une stratégie que l’on réévalue tous les trois mois en fonction des données provenant des indicateurs.

Pour éviter le burn-out et les déceptions, il est recommandé d’appliquer la méthode S.M.A.R.T. Issue de l’acronyme Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis, cette méthode rassure les porteurs de projets. Elle utilise le temps, l’argent et les ressources à bon escient grâce à la mise en place d’objectifs et d’indicateurs atteignables.

Ainsi tous les trois mois, lors de la phase d’évaluation des indicateurs, de nouveaux objectifs sont fixés pour ajuster la stratégie. Dans le cadre d’une application B2B, cela peut être : avoir 1000 téléchargements supplémentaires en 2 mois, embarquer 500 nouveaux utilisateurs par mois, transformer X nouveaux clients le premier mois etc… Si au bout de trois mois de lancement, ces objectifs sont atteints alors on peut parler de succès.

D’autre part, utiliser cette méthode est non seulement bénéfique pour son application mais aussi pour les utilisateurs ! La méthode S.M.A.R.T rassure car elle fixe un cap et, a fortiori, expose les sujets qu’on ne souhaite pas mesurer. C’est un signe de professionnalisme et de crédibilité envoyé auprès des utilisateurs. Ce qui sera très utile pour le dernier tips…

TIPS #5 : PLANIFIEZ LE BILAN POST-LANCEMENT

Évoqué dans le tips précédent, il constitue le rendez-vous à mettre en place environ 3 mois après avoir lancé l’app. L’intérêt ici est double : tester et apprendre ! En testant les utilisateurs, on analyse les premières statistiques d’usage de l’app (les fameux indicateurs et objectifs S.M.A.R.T). On récolte ainsi les premiers avis qui renseignent sur les axes d’améliorations mais aussi les faiblesses du projet.

Cette étape essentielle dresse ainsi un portrait de l’application à un instant T. À l’issue de ce premier bilan, une dynamique de travail est enclenchée pour capitaliser sur les forces et travailler sur les axes d’amélioration. In fine, cela amène d’autres rendez-vous avec les différentes parties prenantes du projet (utilisateurs et relais).

Mais une question demeure : pourquoi planifier ce bilan post-lancement ? Et bien… pour être certain de le faire ! En effet, une fois l’application lancée, il est logique d’être submergé par la charge de travail. Si l’application est le navire sur lequel on voyage d’îles en îles, alors la charge de travail constitue la météo. Lorsque on en a peu, le temps est clair, la mer est belle, mais lorsqu’elle est importante, c’est la tempête !

De fait, lors de la mise en ligne de l’application, la charge de travail est souvent importante. On finit par oublier de faire une halte pour dresser un bilan avec son équipage et fixer un cap. Planifier le rendez-vous permet ainsi de ne pas le manquer !

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3 questions pour réussir le lancement de son app B2B https://preprod.top.coach/3-questions-pour-reussir-le-lancement-de-son-app-b2b/ Wed, 19 Oct 2022 10:16:22 +0000 https://top.coach/?p=20724 Comment s’y prendre pour réussir le lancement de son application B2B ? C’est LA grande question qui agite les entrepreneurs !

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Comment s’y prendre pour réussir le lancement de son application B2B ? C’est LA grande question qui agite les entrepreneurs souhaitant créer un business sur mobile et augmenter leurs performances de ventes.

Il faut dire que les solutions mobiles ont le vent en poupe et les affaires fleurissent autour de ce type de projets. De facto, pour les conseiller au mieux, la rédaction propose 3 questions clés pour aider à y voir plus clair dans les différentes étapes du processus !

Question 1 : Comment faciliter l’accès à son application ?

Pour commencer, l’une des clés pour qu’un outil BtoB marche, c’est son accessibilité ! Plus l’application est simple et intuitive, plus elle saura séduire les futurs utilisateurs. En gardant cela à l’esprit lors du lancement, on minimise les pertes et augmente les chances de succès. Pour cela, il faut pouvoir importer des utilisateurs en masse en renseignant des informations de base (identifiants, mails, noms, prénoms) via un simple fichier XLS ou CSV. Une fois fait, il faut communiquer aux nouveaux inscrits un identifiant ainsi qu’un mot de passe propre à chacun pour faciliter l’accès à l’app.

Ensuite, la facilitation de l’accès à l’application passe par l’automatisation des inscriptions via un échange de fichiers, journalier ou hebdomadaire. Cela permet de garder sa base utilisateurs à jour en procédant à un développement qui simplifie, à terme, les futures évolutions de l’app B2B. Par exemple, les plus grosses entreprises ont un annuaire interne sur lequel se brancher via un SSO (Single Sign-on).

De fait, cette automatisation facilite l’accès des utilisateurs à l’application grâce à un formulaire précis, concis et des informations simples. Ainsi, les utilisateurs s’enregistrent eux-mêmes, ce qui les invite à prendre part à l’application et renforce leur engagement.

Question 2 : Faut-il planifier la publication des contenus de l’app B2B ?

Oui il est indéniable (voir impératif) d’anticiper la mise en ligne des différentes animations et contenus de la solution. Après l’accessibilité, la planification joue un rôle clé dans la réussite du lancement car elle impacte la fréquence à laquelle les utilisateurs vont se connecter. Ainsi, comme dans un média, il faut décider de l’horaire et du jour auquel la communauté va venir s’informer.

De cette planification va ressortir un calendrier de publication qui définit l’engagement et la fidélisation de son audience. Ce calendrier impacte la charge de travail car plus on publie de contenu par semaine, plus on doit en créer ! Une logique imparable. Il faut donc évaluer la charge de travail que l’on est prêt à supporter pour maintenir une fréquence de publication intacte.

Rappelons que c’est un engagement vis-à-vis des utilisateurs ! Un contenu retardé aura nécessairement un impact sur leur engagement, d’où l’intérêt de planifier. En prévoyant large, cela laisse une marge de manœuvre pour étoffer son catalogue au fur et à mesure. Nous recommandons d’avoir au minimum 4 contenus planifiés, à raison d’un par semaine. Cela offre un mois de contenu prêt à l’emploi, ce qui n’est pas négligeable à la vue des autres tâches à réaliser en parallèle (communication, prospection etc…) !

Question 3 : Traduire ses contenus, pourquoi ?

Autant être honnête, la traduction ne concerne pas l’ensemble des projets d’application BtoB. Il faut définir dès le lancement si l’on veut traduire (ou non) ses contenus. Et pour cause : bien exécutée, cette dernière joue le rôle d’accélérateur de croissance et fournit des bénéfices financiers évidents. Mal exécutée la traduction des contenus peut retarder, voir même condamner, le lancement de l’app B2B.

Néanmoins, elle apparaît comme indispensable avec l’arrivée d’internet. En effet, démarcher à l’étranger devient plus facile, ce qui amène de multiples débouchés : gain d’une clientèle internationale, bénéfices économiques etc… L’anticiper, c’est donc s’éviter d’être submergé de travail lorsque l’on doit traduire l’intégralité de ses contenus.

Cette tâche peut s’avérer rapidement fastidieuse en raison des nombreux imprévus à commencer par les traducteurs web (Google Trad, Reverso et autres). Bien que performants, ces derniers ne prennent pas en compte les nombreuses variations sémantiques surtout dans le cadre de contextes économiques précis. Par exemple, les vendeurs anglais n’ont pas la même manière de vendre un produit que les vendeurs français, ce qui impacte nécessairement la manière de présenter les contenus.

Il faut ainsi adapter les contenus en fonction des langues et des usages de la clientèle. D’où la nécessité de bien anticiper la traduction tout en s’assurant des retombées que cette dernière aura à court, moyen et long terme.

Conclusion pour réussir son projet mobile B2B :

Pour conclure, la réussite du lancement de son projet mobile passe par trois éléments clés à savoir : l’accessibilité, la planification mais aussi la traduction. Ce sont autant de points à anticiper lors de la production de l’app mobile pour éviter de gaspiller du temps, du budget et des ressources humaines.

D’ailleurs, la rédaction prépare une autre série de questions clés pour mieux réussir son lancement. Restez connectés et souscrivez à notre newsletter pour suivre toutes les actualités de TopCoach !

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ACTU : La démo TopCoach ! https://preprod.top.coach/actu-la-demo-topcoach/ Thu, 06 Oct 2022 14:54:57 +0000 https://top.coach/?p=20698 Via un formulaire à compléter, les personnes inscrites ont testé notre solution d’outil d’aide à la vente pour augmenter leurs performances de vente en magasin.

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Du 26 septembre au 2er octobre, l’application TopCoach a ouvert ses portes !

Via un formulaire à compléter, les personnes inscrites ont testé notre solution d’outil d’aide à la vente pour augmenter leurs performances de vente en magasin. Au programme : des vidéos explicatives, des battles, des quiz pour tester les connaissances et de nombreuses autres fonctionnalités (homepage personnalisée etc…). Une expérience enrichissante pour l’équipe de TopCoach qui a répondu aux interrogations des personnes inscrites. 

D’ailleurs, si vous voulez profiter d’une démo de l’app, cliquez ici et remplissez les différents champs du formulaire !  Pensez aussi a suivre nos réseaux sociaux pour vous tenir au courant des actualités de TopCoach !

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Top 3 des bonnes pratiques à adopter pour réussir son projet mobile B2B https://preprod.top.coach/top-3-comment-reussir-son-projet-mobile-b2b/ Thu, 22 Sep 2022 15:05:08 +0000 https://top.coach/?p=20633 Vouloir réussir son projet mobile B2B, c’est bien. Avoir des conseils et une méthode pour se professionnaliser, c’est mieux avec notre top 3 !

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Vouloir créer son application B2B, c’est bien. Avoir des conseils et une méthode pour se professionnaliser rapidement, c’est mieux ! Découvrez ainsi notre top3 des bonnes pratiques à adopter pour réussir son projet mobile.

Top 3 pour réussir son projet B2B : Innovez dans vos contenus

Véritable nerf de la guerre, la création de contenus est une des préoccupations principales lorsque l’on souhaite développer son application B2B. L’intérêt est multiple : maintenir une audience sur son application, conquérir de nouvelles parts de marché et alimenter ses réseaux professionnels en contenu.

Pour se faire, commencez par créer des contenus classiques comme des concours, des posts ou encore des FAQ. Ces derniers amplifient les interactions avec votre audience et vous permettent de récolter des avis.

Enfin, n’hésitez pas à sortir des sentiers battus pour proposer des contenus originaux. Cela vous permettra de vous différencier des autres applications B2B concurrentes et d’être clairement identifiable sur le marché. Mais dans tous les cas, produisez à un rythme régulier : le développement de votre app B2B en sera renforcé et vos utilisateurs seront satisfaits.

Top 2 pour réussir son projet mobile B2B : Réfléchissez à la gouvernance du projet dès son lancement

Dans le cadre d’une application B2B, la hiérarchisation passe par l’attribution de tâches précises, d’un modèle de gouvernance propre à votre entreprise et à la mise en place de tâches adaptées aux postes de chacun. Ainsi, chacun y voit plus clair sur sa To Do List à faire dans la journée.

Mais ne vous contentez pas de définir la structure interne, établissez également le rôle des différents relais ! Cela vous simplifiera la tâche lorsque vous voudrez vous déployer sur le marché. Une fois fait, faites en sorte de centraliser les informations pour gagner en confort de travail et éviter de perdre du temps à chercher une information.

In fine, le développement de votre app sera davantage structuré et clair pour votre entreprise.

Top 1 pour réussir son application B2B : Structurez les thématiques et définissez un plan éditorial

Avant de se lancer dans la création de vos activités mobile learning, réfléchissez à la structure de votre catalogue. L’idée étant de définir les sujets sur lesquels vous voulez communiquer pour faire ressortir deux à trois grands axes à traiter. Ensuite, un plan éditorial doit être construit pour établir précisément la manière dont ces grands thèmes vont se retrouver dans votre app B2B.

Mais ne vous contentez pas de définir la structure interne, établissez également le rôle des différents relais ! Cela vous simplifiera la tâche lorsque vous voudrez vous déployer sur le marché.

Une fois fait, faites en sorte de centraliser les informations pour gagner en confort de travail et éviter de perdre du temps à chercher une information. In fine, le développement de votre app sera davantage structuré et clair pour votre entreprise.

Conseil bonus pour les projets mobile B2B : adoptez une communication efficace

Un incontournable. Oui, je termine ce top par un incontournable qu’il convient de rappeler tant son rôle est primordial dans le développement d’une application B2B. D’une part, occuper le fil d’actualité offre de la matière à vos réseaux d’influences externes ainsi qu’à vos forces internes.

D’autre part, cela permet à vos utilisateurs d’être constamment abreuvés en contenus, ce qui garantit un très bon taux de rétention.

Pour avoir une communication efficace, soyez régulier et concis. Comme le temps d’attention est limité sur les réseaux sociaux, proposer un contenu court, régulier et facile à comprendre devient une nécessité. C’est le meilleur moyen de garder votre audience éveillée, fidèle et engagée.

Conclusion pour réussir son projet mobile B2B :

Voilà, c’est la fin de ce top !

En somme, développer son app B2B est un sacré challenge avec de nombreux paramètres à prendre en compte : plan éditorial, gouvernance interne, contenus ou encore la communication externe.

Si cet article vous a plu, faites-le nous savoir via les réseaux sociaux. On pourra potentiellement publier une partie 2 de ce top dans laquelle on vous présenter d’autres conseils !

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Page d’accueil personnalisée : 3 raisons de l’opter lorsque vous êtes vendeur https://preprod.top.coach/3-raisons-page-daccueil-personnalisee/ Mon, 04 Apr 2022 12:24:49 +0000 https://top.coach/?p=19940 Le phygital a la cote et de nombreuses enseignes proposent leur lot d’expériences pour changer le rapport du public à l’achat : l’enjeu de la page d’accueil personnalisée. Dans un article du Journal du Net, Antoine Crochet-Damais met en évidence le fait que l’UX est trop souvent oubliée par les entreprises. Pourtant, l’expérience utilisateur n’a jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui.  Avec le sales enablement, le rapport au produit change, évolue et se diversifie en interne. Les forces de ventes se coordonnent sur smartphone et tablettes pour centraliser les connaissances des produits. Les vendeurs et les managers partagent la même information au sein de la même interface… d’où la nécessité de recourir à une page d’accueil personnalisée.  Pourquoi ? On vous explique tout dans cet article !  Alors installez-vous confortablement dans votre chaise et découvrez les trois raisons de recourir à une homepage personnalisée ! Raison 1 : Elle propose des fonctionnalités variées Un peu de contexte sur la page d’accueil​ avant de démarrer Tout comme l’écran d’accueil des plateformes de streaming, l’interface d’accueil regroupe les connexions des vendeurs et des managers sur leur outil d’aide à la vente. C’est ici que l’on retrouve les dernières nouveautés des produits et des informations sur les valeurs de la marque. Cette page d’accueil peut être personnalisée à la demande de la société pour améliorer l’UX et l’adapter à ses valeurs et à sa charte graphique. Les modifications apportées vont d’éléments basiques comme les couleurs de l’arrière-plan, à des éléments plus poussés comme la hiérarchisation du contenu affiché. Mais certains outils d’aide à la vente vont plus loin Ils diffusent l’information en proposant diverses fonctionnalités comme : des notifications personnalisées, des défis du jour, des jeux concours ou encore des catégories réservées aux gammes de produits. A la fois ludiques et engageantes, ces diverses options sont primordiales pour rendre cette page d’accueil dynamique, complète et interactive. Ainsi, même si l’application a la même base pour toutes les marques, les fonctionnalités ciblent leurs besoins spécifiques en y répondant grâce notamment au vidéo learning. Raison 2 : Elle permet un gain de productivité ! Avec la personnalisation de l’interface principale, la page d’accueil devient la vitrine de la société. Toutes les informations y sont hiérarchisées selon les priorités de l’entreprise qui peut choisir de valoriser les derniers produits sortis ou bien ses valeurs fondatrices. De facto, les forces de vente voient d’emblée l’information prioritaire, ce qui facilite leur compréhension des priorités de la boîte.  Avec les mises à jour régulières de la homepage, l’environnement de travail devient dynamique et intuitif. Ce qui impacte la productivité des forces de vente qui apprennent mieux les informations, et plus rapidement. Les vendeurs gagnent ainsi en performance commerciale et en connaissance produit. Raison 3 : Elle propose un autre rapport à la marque Mais au-delà de la productivité, la personnalisation de la homepage crée un engagement supplémentaire envers la marque. Les forces de vente ont davantage l’impression de faire partie d’une communauté. Elle propose une expérience différente du milieu entrepreneurial (cf intro) et amène une ludification des rapports interprofessionnels. L’ensemble des employés d’une même entreprise partage un élément en commun accessible depuis le smartphone ou la tablette : la homepage. De fait, les rapports hiérarchiques entre les équipes s’aplatissent. Les vendeurs ont davantage le sentiment de faire partie d’une entreprise qui leur correspond et dont ils partagent les valeurs et la direction artistique et visuelle. Les collègues deviennent ainsi des partenaires de jeux le temps d’une battle. Cet engagement est entretenu par la mise à jour régulière de l’application qui constitue un intérêt non négligeable pour fidéliser ses équipes sur le temps long. En somme, la homepage personnalisée offre une solution adaptée aux besoins des vendeurs. Elle constitue un enjeu stratégique pour les manager souhaitant fédérer les équipes en interne à l’aide de fonctionnalités variées et des informations accessibles au premier coup d’œil.

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Le phygital a la cote et de nombreuses enseignes proposent leur lot d’expériences pour changer le rapport du public à l’achat : l’enjeu de la page d’accueil personnalisée. Dans un article du Journal du Net, Antoine Crochet-Damais met en évidence le fait que l’UX est trop souvent oubliée par les entreprises. Pourtant, l’expérience utilisateur n’a jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui. 

Avec le sales enablement, le rapport au produit change, évolue et se diversifie en interne. Les forces de ventes se coordonnent sur smartphone et tablettes pour centraliser les connaissances des produits. Les vendeurs et les managers partagent la même information au sein de la même interface… d’où la nécessité de recourir à une page d’accueil personnalisée

Pourquoi ? On vous explique tout dans cet article ! 

Alors installez-vous confortablement dans votre chaise et découvrez les trois raisons de recourir à une homepage personnalisée !

Raison 1 : Elle propose des fonctionnalités variées

Un peu de contexte sur la page d'accueil​ avant de démarrer

Tout comme l’écran d’accueil des plateformes de streaming, l’interface d’accueil regroupe les connexions des vendeurs et des managers sur leur outil d’aide à la vente. C’est ici que l’on retrouve les dernières nouveautés des produits et des informations sur les valeurs de la marque.

Cette page d’accueil peut être personnalisée à la demande de la société pour améliorer l’UX et l’adapter à ses valeurs et à sa charte graphique. Les modifications apportées vont d’éléments basiques comme les couleurs de l’arrière-plan, à des éléments plus poussés comme la hiérarchisation du contenu affiché.

Mais certains outils d’aide à la vente vont plus loin

Ils diffusent l’information en proposant diverses fonctionnalités comme : des notifications personnalisées, des défis du jour, des jeux concours ou encore des catégories réservées aux gammes de produits. A la fois ludiques et engageantes, ces diverses options sont primordiales pour rendre cette page d’accueil dynamique, complète et interactive.

Ainsi, même si l’application a la même base pour toutes les marques, les fonctionnalités ciblent leurs besoins spécifiques en y répondant grâce notamment au vidéo learning.

Raison 2 : Elle permet un gain de productivité !

Avec la personnalisation de l’interface principale, la page d’accueil devient la vitrine de la société. Toutes les informations y sont hiérarchisées selon les priorités de l’entreprise qui peut choisir de valoriser les derniers produits sortis ou bien ses valeurs fondatrices. De facto, les forces de vente voient d’emblée l’information prioritaire, ce qui facilite leur compréhension des priorités de la boîte. 

Avec les mises à jour régulières de la homepage, l’environnement de travail devient dynamique et intuitif. Ce qui impacte la productivité des forces de vente qui apprennent mieux les informations, et plus rapidement. Les vendeurs gagnent ainsi en performance commerciale et en connaissance produit.

Raison 3 : Elle propose un autre rapport à la marque

Mais au-delà de la productivité, la personnalisation de la homepage crée un engagement supplémentaire envers la marque. Les forces de vente ont davantage l’impression de faire partie d’une communauté.

Elle propose une expérience différente du milieu entrepreneurial (cf intro) et amène une ludification des rapports interprofessionnels. L’ensemble des employés d’une même entreprise partage un élément en commun accessible depuis le smartphone ou la tablette : la homepage.

De fait, les rapports hiérarchiques entre les équipes s’aplatissent. Les vendeurs ont davantage le sentiment de faire partie d’une entreprise qui leur correspond et dont ils partagent les valeurs et la direction artistique et visuelle. Les collègues deviennent ainsi des partenaires de jeux le temps d’une battle. Cet engagement est entretenu par la mise à jour régulière de l’application qui constitue un intérêt non négligeable pour fidéliser ses équipes sur le temps long.

En somme, la homepage personnalisée offre une solution adaptée aux besoins des vendeurs.

Elle constitue un enjeu stratégique pour les manager souhaitant fédérer les équipes en interne à l’aide de fonctionnalités variées et des informations accessibles au premier coup d’œil.

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Le retail pharmaceutique 2022 : l’état de santé du secteur https://preprod.top.coach/retail-pharmaceutique-2022-etat-sante-secteur/ Tue, 15 Mar 2022 10:04:28 +0000 https://top.coach/?p=19610 En cette trouble période sanitaire (non, nous n’allons pas parler du Covid-19), parlons d’un eldorado commercial qu’est le marché du retail pharmaceutique 2022 ! Si l’offre pharmaceutique s’est développée de par ses leviers de distribution, celle concernant le sales enablement et l’information produit ne s’est pas réellement distinguée par l’innovation, et ce car le secteur est bien encadré. Chez TopCoach, on le sait bien, que ce soit sur notre application MyCoach (disponible gratuitement sur l’[App Store] ou sur le [Google Play Store]) pour les plus de 300 officines du groupe Leader Santé ; l’information produit est nécessaire pour toutes les équipes officinales. L’idée ? Regrouper tout un catalogue de produits définis appuyés de modules de formation gamifiés qui font désormais [l’expertise de TopCoach]. Car en somme, il n’y aurait pas de conseillers officinaux… sans de bons conseils à prodiguer. Plusieurs aspects font qu’il peut être difficile de se démarquer dans le monde du retail pharmaceutique et (para)pharmaceutique entre : L’abondance des sorties produits ; La forte compétitivité d’un secteur pharmaceutique monopolistique qui semble ébranlé ; Ou encore des nouvelles techniques de vente en ligne avec le retail pharmaceutique. Le b.a.-ba dans le retail pharmaceutique Commençons par revoir nos basiques sur cet univers qui nous concernent tous, mais qui reste relativement ésotérique. Qu’est-ce qui distingue une pharmacie d’une parapharmacie dans le retail pharmaceutique ? Que peut-on acheter ? Auprès de qui ? Pour distinguer ces deux lieux, une phrase vulgarise souvent leur différence principale : « La pharmacie, c’est pour se soigner. La parapharmacie, c’est pour prendre soin de soi ». L’officine ou retail dans la pharmacie : L’officine du retail pharmaceutique doit avoir à sa tête un docteur en pharmacie épaulé d’une équipe de préparateurs. Seuls ceux-ci peuvent fournir un [produit sous prescription médicale, ou soumis à l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)]. Qui peut le plus peut le moins, alors on trouve également tout autres types de produits disponibles sans ordonnance communément appelés OTC pour Over-The-Counter, ou « au-dessus du comptoir ». Le retail pharmaceutique en 2022 : Tandis qu’une parapharmacie ne peut pas vous procurer de médicaments, et elle n’est pas nécessairement tenue par un professionnel de santé. Vous y trouvez notamment des produits d’esthétique, des produits de soin ou des compléments alimentaires. Les médicaments et toutes les formes d’informations à leur sujet sont logiquement encadrés. En France, c’est notamment l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) qui s’en occupe. Chacune de ces formes, quelle que soit leur vocation (commerciale, promotionnelle, ou pédagogique… comme les modules de formation TopCoach) sont analysées et vérifiées précisément. Dans la description qui en est faite, il s’agit de toute forme d’information y compris le démarchage, de prospection ou d’incitation visant à promouvoir : La prescription ; La délivrance ; La vente ; Ou l’utilisation de ces dispositifs. Chaque promotion médicamenteuse doit formellement être accompagnée du Résumé des caractéristiques du produit (RCP) comportant notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques validées, les contre-indications, les précautions d’emploi, les effets indésirables, etc. Quant à l’étiquetage, il comprend notamment des informations nécessaires pour identifier le médicament (nom du médicament et de la substance active, dosage, forme pharmaceutique…. [D’autres informations concernant son utilisation] (date de péremption, conditions de conservation, pictogrammes conduite automobile…) y apparaissent aussi. Car le simple packaging d’un médicament ne suffit ni à convaincre le potentiel client ni à aider l’opérateur officinal à déceler les éléments d’information clé pour pusher un produit plutôt qu’un autre. Les gros retailers étouffent-ils les groupements pharmaceutiques ? Comme on peut le constater, on ne joue pas avec la santé des consommateurs ! De par sa nature vitale, le secteur du retail pharmaceutique est bien réglementé, et ne répond pas aux règles de vente ou de publicités traditionnelles du retail. Pourtant, c’est plus simple pour une grande surface implantée partout en France de créer une chaîne de valeur maîtrisée que pour une pharmacie indépendante et isolée, ou même un groupement de pharmacie. Dépendre d’un plus gros volume de produit facilite aussi le bradage des produits. Il faut donc comprendre un prix bradé aux dépens des magasins spécialisés, ici les officines ou le retail pharmaceutique. C’est d’ailleurs bien le créneau du groupe E.Leclerc qui a fait de son célèbre slogan « Tout ce qui compte pour vous existe à prix E.Leclerc » son fer de lance depuis toujours, et ce même sur le marché du retail pharmaceutique depuis les années 80. Si le groupe dirigé par Michel-Edouard Leclerc continue de chercher à rompre le monopole de la vente des médicaments, il est tout de même capable de vendre des produits parapharmaceutiques sans ordonnance sur ses points de vente depuis 1984. La lutte continue cependant ! D’un côté de E.Leclerc , représenté ici par le GALEC (Groupement d’Achats E.Leclerc) qui cherche à casser les prix pour une santé accessible, face à l’UDGPO (Union Des Groupements de Pharmaciens d’Officine). Cette dernière représente : 8 groupements adhérents ; Pour quelques 3000 pharmacies. Le [GALEC a été jugé et condamné en décembre 2021 pour publicité trompeuse], après avoir annoncé injustement que toutes leurs parapharmacies étaient tenues par un docteur en pharmacie. Les discordes entre les grandes surfaces et les officines se sont aussi intensifiées depuis l’arrivée du Covid-19 et la démocratisation, notamment, des autotests. Suivre l’essor du e-commerce dans le secteur du retail pharmaceutique : il faut mieux informer en ligne Quelque 600 officines ont déjà créé leur site de vente en ligne. Mais des experts du e-commerce se sont également lancés dans le grand bain de la parapharmacie. L’éviction d’un intermédiaire de vente qu’aurait été le magasin physique permet de proposer des tarifs grossistes en ligne. Cela met donc le médicament à la même place qu’un produit de grande consommation traditionnel. L’autorisation de se présenter en ligne comporte quand même un cadre de vente uniformisé à l’échelle européenne, et encore plus spécifique en France. Voici certaines grandes lignes de la réglementation qui sont rappelées par le Ministère des Solidarités et de

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En cette trouble période sanitaire (non, nous n’allons pas parler du Covid-19), parlons d’un eldorado commercial qu’est le marché du retail pharmaceutique 2022 ! Si l’offre pharmaceutique s’est développée de par ses leviers de distribution, celle concernant le sales enablement et l’information produit ne s’est pas réellement distinguée par l’innovation, et ce car le secteur est bien encadré.

Chez TopCoach, on le sait bien, que ce soit sur notre application MyCoach (disponible gratuitement sur l’[App Store] ou sur le [Google Play Store]) pour les plus de 300 officines du groupe Leader Santé ; l’information produit est nécessaire pour toutes les équipes officinales. L’idée ? Regrouper tout un catalogue de produits définis appuyés de modules de formation gamifiés qui font désormais [l’expertise de TopCoach]. Car en somme, il n’y aurait pas de conseillers officinaux… sans de bons conseils à prodiguer.

Plusieurs aspects font qu’il peut être difficile de se démarquer dans le monde du retail pharmaceutique et (para)pharmaceutique entre :

  • L’abondance des sorties produits ;
  • La forte compétitivité d’un secteur pharmaceutique monopolistique qui semble ébranlé ;
  • Ou encore des nouvelles techniques de vente en ligne avec le retail pharmaceutique.

Le b.a.-ba dans le retail pharmaceutique

Commençons par revoir nos basiques sur cet univers qui nous concernent tous, mais qui reste relativement ésotérique. Qu’est-ce qui distingue une pharmacie d’une parapharmacie dans le retail pharmaceutique ? Que peut-on acheter ? Auprès de qui ?

Pour distinguer ces deux lieux, une phrase vulgarise souvent leur différence principale : « La pharmacie, c’est pour se soigner. La parapharmacie, c’est pour prendre soin de soi ».

L’officine ou retail dans la pharmacie :

L’officine du retail pharmaceutique doit avoir à sa tête un docteur en pharmacie épaulé d’une équipe de préparateurs. Seuls ceux-ci peuvent fournir un [produit sous prescription médicale, ou soumis à l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)]. Qui peut le plus peut le moins, alors on trouve également tout autres types de produits disponibles sans ordonnance communément appelés OTC pour Over-The-Counter, ou « au-dessus du comptoir ».

Le retail pharmaceutique en 2022 :

Tandis qu’une parapharmacie ne peut pas vous procurer de médicaments, et elle n’est pas nécessairement tenue par un professionnel de santé. Vous y trouvez notamment des produits d’esthétique, des produits de soin ou des compléments alimentaires.

Les médicaments et toutes les formes d’informations à leur sujet sont logiquement encadrés. En France, c’est notamment l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) qui s’en occupe. Chacune de ces formes, quelle que soit leur vocation (commerciale, promotionnelle, ou pédagogique… comme les modules de formation TopCoach) sont analysées et vérifiées précisément. Dans la description qui en est faite, il s’agit de toute forme d’information y compris le démarchage, de prospection ou d’incitation visant à promouvoir :

  • La prescription ;
  • La délivrance ;
  • La vente ;
  • Ou l’utilisation de ces dispositifs.

Chaque promotion médicamenteuse doit formellement être accompagnée du Résumé des caractéristiques du produit (RCP) comportant notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques validées, les contre-indications, les précautions d’emploi, les effets indésirables, etc.

Quant à l’étiquetage, il comprend notamment des informations nécessaires pour identifier le médicament (nom du médicament et de la substance active, dosage, forme pharmaceutique…. [D’autres informations concernant son utilisation] (date de péremption, conditions de conservation, pictogrammes conduite automobile…) y apparaissent aussi. Car le simple packaging d’un médicament ne suffit ni à convaincre le potentiel client ni à aider l’opérateur officinal à déceler les éléments d’information clé pour pusher un produit plutôt qu’un autre.

Les gros retailers étouffent-ils les groupements pharmaceutiques ?

Comme on peut le constater, on ne joue pas avec la santé des consommateurs ! De par sa nature vitale, le secteur du retail pharmaceutique est bien réglementé, et ne répond pas aux règles de vente ou de publicités traditionnelles du retail. Pourtant, c’est plus simple pour une grande surface implantée partout en France de créer une chaîne de valeur maîtrisée que pour une pharmacie indépendante et isolée, ou même un groupement de pharmacie.

Dépendre d’un plus gros volume de produit facilite aussi le bradage des produits. Il faut donc comprendre un prix bradé aux dépens des magasins spécialisés, ici les officines ou le retail pharmaceutique. C’est d’ailleurs bien le créneau du groupe E.Leclerc qui a fait de son célèbre slogan « Tout ce qui compte pour vous existe à prix E.Leclerc » son fer de lance depuis toujours, et ce même sur le marché du retail pharmaceutique depuis les années 80. Si le groupe dirigé par Michel-Edouard Leclerc continue de chercher à rompre le monopole de la vente des médicaments, il est tout de même capable de vendre des produits parapharmaceutiques sans ordonnance sur ses points de vente depuis 1984.

La lutte continue cependant ! D’un côté de E.Leclerc , représenté ici par le GALEC (Groupement d’Achats E.Leclerc) qui cherche à casser les prix pour une santé accessible, face à l’UDGPO (Union Des Groupements de Pharmaciens d’Officine). Cette dernière représente :

  • 8 groupements adhérents ;
  • Pour quelques 3000 pharmacies.

Le [GALEC a été jugé et condamné en décembre 2021 pour publicité trompeuse], après avoir annoncé injustement que toutes leurs parapharmacies étaient tenues par un docteur en pharmacie. Les discordes entre les grandes surfaces et les officines se sont aussi intensifiées depuis l’arrivée du Covid-19 et la démocratisation, notamment, des autotests.

Suivre l’essor du e-commerce dans le secteur du retail pharmaceutique : il faut mieux informer en ligne

Quelque 600 officines ont déjà créé leur site de vente en ligne. Mais des experts du e-commerce se sont également lancés dans le grand bain de la parapharmacie. L’éviction d’un intermédiaire de vente qu’aurait été le magasin physique permet de proposer des tarifs grossistes en ligne. Cela met donc le médicament à la même place qu’un produit de grande consommation traditionnel. L’autorisation de se présenter en ligne comporte quand même un cadre de vente uniformisé à l’échelle européenne, et encore plus spécifique en France.

Voici certaines grandes lignes de la réglementation qui sont rappelées par le Ministère des Solidarités et de la Santé :

  • La création et l’exploitation d’un site Internet de vente de médicaments sont réservées aux pharmaciens ;
  • Le site doit représenter une officine de pharmacie physique ;
  • Seuls les médicaments non soumis à prescription obligatoire peuvent être vendus en ligne.

Une liste exhaustive et mise à jour des officines présentes en ligne est [disponible sur le site de l’Ordre national des pharmaciens].

Mais alors, que représente aujourd’hui cette opportunité d’expansion commerciale dans l’univers du retail pharmaceutique ? [Quelques chiffres] :

  • ¼ des internautes ont déjà acheté des produits pharmaceutiques en ligne
  • 37 % des consommateurs considèrent la disponibilité 24/24 h et 7 j/7 comme le principal avantage du e-commerce pour les produits de santé
  • 80 % des internautes utilisent les moteurs de recherche avant de faire un achat en ligne.

Prenons ce dernier chiffre éloquent sur le [besoin de s’informer sur l’usage, les effets et même la concurrence potentielle].

L’appréciation du lien humain dans le retail pharmaceutique ne répond donc pas aux mêmes règles que celles qui font le retail en GMS ou GSS. Commençons par l’offre Amazon Pharmacy. Le leader du e-commerce a développé en 2020 son premier service de commande et de livraisons de médicaments (aux Etats-Unis, pour l’heure). La vente de ces médicaments en ligne est d’ailleurs possible aussi pour les produits sous prescription médicale. Cette révolution du commerce en ligne et de la vente de produits pharmaceutiques marque l’avènement d’une tendance commerciale qui rebat les cartes du milieu médical. Cdiscount a également lancé son Comptoirsanté, une marketplace réunissant plus de 500 marques et 11000 parapharmaceutiques.

Le développement des sell-out grâce au retail pharmaceutique en 2022 a mis en exergue le changement de consommation vis-à-vis de ces produits. C’est également l’occasion de s’intéresser au fait qu’on peut acheter plus librement. Car l’information produit revient entre les mains des patients (ou consommateurs) finaux.

Alors, dans cet environnement du retail pharmaceutique en pleine transformation, l’accès aux produits a grandement évolué entre compétitivité et nouveaux leviers digitaux. 

Grâce à TopCoach, retrouvez toutes les informations produit les plus utiles. Toujours dans le respect des consignes de l’ANSM et toujours dans une logique d’apprentissage facilité sur smartphone, retrouvez une vidéo qui concentre en vidéo les informations essentiels d’un produit, un quiz pour approfondir l’apprentissage, mais également des documents annexes comme les RCP.

Conservez un vaste catalogue de produits dans votre poche pour y avoir accès en officine et partout ailleurs, et ainsi aiguiller le mieux possible votre patientèle.

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Comment maintenir de l’enjeu dans votre jeu ? https://preprod.top.coach/comment-maintenir-de-lenjeu-dans-votre-jeu/ Wed, 23 Feb 2022 09:17:46 +0000 https://top.coach/?p=19507 La pandémie de Covid-19, et les mesures qu’elle exige de déployer, a de fait ralenti, voire brisé le lien que les enseignes et les marques avaient avec leur clientèle. Ce n’était plus possible d’échanger et d’interagir en magasin. Pourtant, n’est-ce pas ce qu’un consommateur vient y chercher ? La preuve en est, malgré l’explosion des usages sur certains sites e-commerce pendant cette crise sanitaire, le canal de vente le plus utilisé reste l’achat en magasin à 77 %.

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Au-delà de l’efficacité de la gamification de vos contenus pour une formation efficace et appréciée, il faut bien récompenser ses apprenants, comme nous en faisions déjà état dans cet article sur les 5 astuces pour susciter l’intérêt et diversifier une stratégie de gamification. Récompenser ses vendeurs est souvent une évidence, il est tout aussi important de gratifier vos utilisateurs pour créer un sentiment d’accomplissement, de fierté, d’envie et donc de rétention. Féliciter un apprenant permet de stimuler l’apprentissage et l’envie de poursuivre l’utilisation de votre solution. Tout est question d’équilibre pour fidéliser. Il est alors important de maintenir l’engouement avec un contenu gamifié qui reste attrayant car accessible, tout en plaçant des objectifs vers lesquels tendre. Il faut aussi gérer les limites et les bornes d’un contenu gamifié, et créer des étapes et des paliers à franchir pour que tout le monde atteigne et trouve le statut d’avancement qui lui correspond. De cette manière, votre utilisateur, collaborateur, vendeur ou partenaire continue à évoluer justement. Découvrons 3 points pour maintenir un enjeu dans votre jeu.

Être gamifié pour mieux régner !​

Récompenser les participants d’une expérience gamifiée, qu’elle soit sur du learning ou autre, permet de notifier l’avancée de l’apprenant. Il peut savoir où il en est, par exemple, sur ses objectifs personnels. Car pour avancer et progresser plus efficacement, on peut se caler sur le progrès des autres, ou bien se fixer une règle à respecter, comme celle de toujours apparaître dans le Top 10, celle d’être dans les 20 % meilleurs apprenants, ou encore celle de rester premier pour incentiver les autres joueurs d’une même catégorie (point de vente, enseigne, ville, région…). Le succès a un prix, il faut alors reconnaître les efforts fournis. La récompense permet d’attester par un moyen physique ou visuel comme des médailles, des badges de votre progrès et de votre évolution. On peut exposer ses trophées et les partager. En plus de l’appartenance au mérite, ces récompenses vont renforcer la qualité de cette relation. Petit tip : vous souhaitez féliciter vos users, faites-le juste après la victoire, nul besoin d’attendre pour laisser penser à une erreur ou un oubli. Fixez des objectifs va aussi servir à mieux cibler les apprenants, et mieux suivre leur progression. Le constat de l’évolution de ceux-là est plus facile et permet de réajuster les curseurs de difficulté, ou même de créer de nouveaux paliers inédits. En créant différents paliers, on place des personnes de niveau sensiblement équivalent ensemble pour ne pas non plus fausser les performances. Ce qui nous amène au point suivant.

Placer correctement le curseur de difficulté

Débloquer une récompense après avoir complété un module gamifié, c’est bien  ; placer correctement le niveau dudit module, c’est mieux. Trois cas de figure se posent :
  • celui où le niveau est trop complexe ;
  • celui où le curseur est placé trop bas ;
  • et enfin l’équilibre parfait où vous offrez un niveau suffisant pour maintenir l’intérêt et la passion du jeu.
Dans les deux premiers cas de figure, la gratification de votre contenu gamifié perd en valeur dans la mesure où vous rendez la mission trop ardue ou à l’inverse, beaucoup trop simple. On souhaite être reconnu à notre juste valeur en :
  • gardant une marge d’amélioration pour se stimuler ;
  • et un standard critique, mais raisonnable pour mieux cibler ses forces et ses faiblesses.
Dans le troisième cas, le curseur est à la fois encourageant et valorisant. Les paliers fixent une barre atteignable pour l’utilisateur. Évidemment rien n’empêche de créer une multitude de paliers pour prolonger autant que faire se peut l’expérience. Autre point, la temporalité de ces paliers. Exemple : si un palier se fait à 100 % en 1 mois, peut-être faut-il raccourcir le chemin pour ne pas frustrer et maintenir l’implication qu’il faut engager pour le réaliser.

Des règles claires pour éviter les surprises ou les doutes​

D’entrée, le participant doit connaître les règles, aussi simples soient-elles. On ne souhaite pas voir un utilisateur déçu ou frustré. Si le jeu proposé est naturellement complexe. Déjà, réévaluons sa difficulté, sa conception et son UX. Puis, décidons à quel moment les règles doivent apparaître. À chaque démarrage ? À chaque chargement, à l’aide d’une astuce qui s’affiche pour rappeler certains fondamentaux ou des fonctionnalités plus discrètes. C’est essentiel pour faire émerger une communauté de joueurs qui apprécie leur écosystème de gamification. Une fois ces bases installées, libre court à votre imagination.  Un peu de créativité dans le format de vos contenus permet notamment de susciter l’intérêt et de revendiquer une originalité qui est toujours la bienvenue. Mais c’est aussi là qu’intervient la découverte d’un concept pour maintenir l’essence même de la gamification, entre stimulation et spontanéité.
Il faut donc :
  • Créer les paliers et les récompenses à la hauteur de votre communauté, on peut continuellement les faire évoluer proportionnellement avec le niveau des apprenants ;
  • Récompenser intelligemment ses utilisateurs avec des défis accessibles et des récompenses exaltantes ;
  • Trouver l’équilibre de difficulté qui est important pour stimuler l’envie d’apprendre encore et encore, tout en valorisant au quotidien les achievements réalisés par le joueur ;
  • Et enfin, ne pas oublier que votre contenu gamifié ne coule pas de source pour tous ceux qui en profiteront, alors il faut rappeler les règles aux moments les plus propices.

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Le video-learning en 3 questions (avec les réponses) ! https://preprod.top.coach/video-learning/ Tue, 08 Feb 2022 16:36:42 +0000 https://top.coach/?p=19245 Avec l’essor considérable du digital learning, intéressons-nous aujourd’hui à un de ses sous-genres qu’est le video-learning. La vidéo est le support le plus apprécié

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Avec l’essor considérable du digital learning, intéressons-nous aujourd’hui à un de ses sous-genres qu’est le video-learning. La vidéo est le support le plus apprécié du marché par les entreprises comme par les internautes pour de nombreux aspects. Car les supports vidéo, outre leur vocation pédagogique et leur format moderne, plaisent. Nous constatons d’ailleurs une hausse fulgurante du temps de visionnage des vidéos ces dernières années. Cela représente désormais plus de 1/3 des activités en ligne. En plus de parfaitement correspondre aux demandes du marché dans un contexte de crise sanitaire à rallonge, le video-learning peut s’ancrer dans une stratégie isolée d’apprentissage digitale ou de blended learning, apprentissage hybride entre distanciel et présentiel. D’après une enquête de l’ISTF, Institut des métiers du digital learning, la demande de digitalisation à 100 % des offres pédagogiques a doublé au cours de l’année 2021. Cette même enquête met en exergue les volontés principales d’un passage à la digitalisation du learning pour :
  • Améliorer l’efficacité pédagogique des formations à 31 % ;
  • Et pour notamment être plus réactif face aux enjeux business dans 29 % des cas.
Quelles que soient la plateforme et la mission (sociale, divertissante, ou informative) ; la vidéo est prisée par les marques et les entreprises. D’après Google, 86 % des internautes consomment de la vidéo pour apprendre et obtenir une information. Google affirme même que l’implémentation de vidéo offre aussi un meilleur référencement. Plus complètes, plus agréable pour assimiler une information : la vidéo, c’est le confort et l’efficacité. Alors, c’est évidemment dans le monde du video-learning qu’il faut en tirer parti.

Pourquoi le vidéo-learning plaît-il le plus ?

La vidéo peut parfaitement s’intégrer dans une stratégie de learning. Citons TopCoach qui propose à vos équipes terrain des modules de formation intégrants vidéo synthétique d’un produit ou d’un service, une fiche produit complète qui va vous livrer leurs moindres détails et toutes leurs spécificités techniques, puis un quiz de consolidation des connaissances pour une formation complète, éducative et ludique. Alors, si la vidéo représente aussi un support considéré comme divertissant par nature. Il s’inscrit plus facilement dans une stratégie de e-learning vidéo, car il fait appel à notre sens le plus actif : la vue. Dès lors, le message passe plus vite et plus clairement, car il est appuyé d’éléments visuels mettant en scène l’information. En raison de tous les aspects mentionnés précédemment, il favorise l’engagement et la mémorisation du contenu véhiculé. L’émotion y est également meilleure pour donner vie à son contenu. Alors, le storytelling y est donc plus impactant. De même que l’immersion au cœur d’un sujet.  La vidéo plaît autant parce que les techniques de tournage se sont améliorées tout en se démocratisant. Alors, c’est possible de mieux filmer et plus rapidement pour une réactivité optimale face à votre marché.

Quelles formes le vidéo-learning peut-il prendre ?

Le video-learning se décline et compte lui-même des sous-genres. On peut apprendre en écoutant des experts développer sur un concept, un thème, une technologie ou un produit, cela relèverait de l’interview. L’interview a un sens caché dans la mesure où il n’est pas en soi du video-learning, mais au final, l’expert dévoile et nous éclaire sur des points essentiels à la compréhension d’un produit ou d’un service. Avez-vous déjà entendu parler des fameux unboxing? Réalisez-les et cela aurait moins de sens, ou faites-les filmer par des ambassadeurs de marque ou des influenceurs, cela en aurait plus. Si ce product review n’est pas à proprement parlé du video-learning non plus, on peut en apprendre énormément sur un produit/service au travers l’avis critique d’une personne influente sur un réseau donné. Rythmé par la sincérité de son opinion, on découvre quelque chose de manière complète et surtout très factuelle. Terminons les quelques formats abordés ici par le live stream. En termes de réactivité et de spontanéité, il est difficile de faire mieux. Même si une forme de live stream qu’est le webinar peut se consulter (fort heureusement  !) après la fin de la réunion, la sensation d’interaction est forte et bel et bien réelle. Le live stream a une certaine confiance grâce à l’apprentissage en direct. Conférences, talks, échanges… tous sauront vous spécialiser sur le sujet du jour. 

La durée est un facteur essentiel selon votre cible

Autre point essentiel au bon développement de votre support de video-learning : sa durée. Si par exemple, les Facebook Lives sont limités à 12 heures de diffusion, c’est une limite qui sera exploitée par les artistes ou les gamers. Dites-vous simplement que vous n’avez jamais assisté à un cours de cette durée. Ce n’est pas parce que nous sommes en ligne que cette règle devrait être abrogée. Pour convertir un lead qualifié plus efficacement, il faut lui apporter de nouveaux éléments d’informations. Il vient chercher à compléter et enrichir sa connaissance de votre marque, de votre produit ou service. Pour le video-learning, de manière générale, nous parlons à une cible déjà convaincue et engagée. Alors le temps de captation de l’attention est plus long. Attention tout de même, une étude réalisée par des professeurs du département du Laboratoire d’Informatique et d’Intelligence Artificielle du MIT et de l’université de Rochester a démontré que la durée optimale d’un module de production vidéo en MOOC avec un présentateur, ce qu’ils appellent une talking head, était de 6 minutes. On pensera aux susnommés product review ou interview. A l’inverse, si on s’adresse à un prospect, nous avons identifié ses besoins. Alors, un format sensiblement plus long correspond à sa recherche plus approfondie.

Que mettre dans son module de video-learning ?

S’il n’y a pas de règles universelles, comme souvent. Pour livrer une vidéo pédagogique efficace, il y a bien des paramètres à prendre en compte de manière globale selon votre appareil, votre thème, votre audience et le message à véhiculer clairement. Mais c’est la manière de délivrer cette information qui va aussi beaucoup plaire.
  • Pour faire visualiser des datas lourdes :
Notons le très apprécié motion design. Ces animations 3D donnent corps à des concepts. Ces derniers sont ainsi vulgarisés et matérialisés pour ouvrir un nouveau spectre d’informations jugées trop techniques en temps normal. On compte aussi l’illustration qui respecte le même schéma que le motion design. Ces deux méthodes vont également permettre de créer un univers propre avec des personnages récurrents qui interviennent dans le monde de la marque au profit d’apprenants qui retrouvent les marqueurs de leur univers d’apprentissage.
  • Pour une pédagogie complète et rapide :
Autre concept très efficace, un peu à la manière du motion design, c’est le style Khan. Il s’agit en soi d’illustrer des concepts à l’aide de dessins sur un board. La captation de l’audience y est meilleure, avec un apprentissage progressif. Par exemple, sur des slides que vous n’avez d’autres choix que d’afficher, implémentez-y un stylo qui passe dessus pour annoter des informations complémentaires. En plus, d’enrichir le propos, vous allez donner une dimension humaine et vivante à votre contenu.
  • Pour faire vivre votre produit/service entre de bonnes mains :
Il y a également l’acting en soi qui est un moyen de mettre un visage sur une idée. Le sponsorship en est un bon exemple. Au-delà d’un acteur face caméra, c’est quelqu’un d’impliqué dans le produit ou le service qui délivre une information claire et précise. Faites vivre votre marque avec ceux qui la font permet de rassurer son apprenant et légitimer son contenu de video-learning. Le video-learning vous ouvre aussi le monde scripté. Loin de la scripted-reality, cette réalité-là est la vôtre, alors il suffit de bien la ficeler pour développer un storytelling intéressant.
  • Donnez encore plus de dimension à votre vidéo :
Le video-learning, c’est bien sûr le meilleur de tous les mondes. Si l’aspect visuel précédemment cité apporte une solution confortable avec des éléments concrets et faciles à déceler. C’est aussi la possibilité d’y intégrer du texte. Pour que votre vidéo soit notamment vue sans son grâce à des sous-titres, ouvrant alors votre audience potentielle. Peuvent aussi y être intégrés des blocs textuels connexes, des titrailles, des informations clés à mettre en avant pour que votre module de video-learning apporte une multitude d’informations à forte valeur ajoutée. On n’oublie pas l’autre sens qu’est l’ouïe. Installez une ambiance sonore à votre image : qu’elle soit réconfortante, thématique, simplement accessoire ou synchrone avec le contenu d’apprentissage vidéo. La dimension sonore aide à capter l’audience.
En musique, en infographie, en dessin, avec un acteur, un ambassadeur ou un collaborateur : donnez du sens à vos produits, services ou concepts grâce au video-learning. Cette méthode dynamique est de plus en plus recherchée et produite pour allier rétention d’audience et performance des marques. Qu’attendez-vous pour appuyer sur « Play » ?

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Les nouveautés sur l’application de janvier 2022 https://preprod.top.coach/les-nouveautes-sur-lapplication-de-janvier-2022/ Mon, 17 Jan 2022 09:38:09 +0000 https://top.coach/?p=19208 Découvrez toutes les nouvelles fonctionnalités de notre application. Nous accordons une importance capitale à l’amélioration et l’innovation de cette dernière afin de vous faire profiter de la meilleure expérience utilisateur possible.

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TopCoach se refait une beauté pour bien débuter l'année !

Ce début d’année 2022 est l’occasion pour TopCoach d’apporter un certain nombre de changements sur son application mobile. Au rayon des nouveautés, des fonctionnalités ont été ajoutées pour améliorer vos challenges et vos gains. 

Ces améliorations vont faire la différence en vous proposant une expérience utilisateur encore plus cool, regardez plutôt. Des médailles et encore des médailles… pour vous. Dès la première page vous avez une visibilité sur les leçons que vous avez réalisées et sur toutes les médailles que vous avez gagnées ! Réveillez l’esprit de compétition qui sommeille en vous ! 
Une nouvelle fonctionnalité qui améliore votre montée en compétences. Vous avez à présent accès aux vidéos de démonstration produit directement depuis la fiche. Vous allez découvrir une toute nouvelle manière d’accéder à l’information qui vous est essentielle, comme ça vous gagnerez un temps précieux.
Vous pouvez désormais voir tous les points d’XP que vous avez gagnés après une leçon complétée. L’actualisation de vos XP s’affiche directement après la fin de chacun des quiz. Vous pouvez donc suivre vos performances en temps réel.

Toutes les nouveautés 2022 sur TopCoach :

  • Amélioration du système de classements : désormais, vous pourrez retrouver directement votre classement en le triant par filtre, cela vous permettra de comprendre quels sont vos axes d’amélioration et ce que vous devez continuer à faire.
  • Ajout d’un quiz plus interactif : un nouveau mode de jeu « Vrai/Faux » qui vous permettra de tester vos connaissances. D’autres modalités viendront prochainement !
  • Possibilité de consulter les fiches caractéristiques des produits : il vous sera désormais possible, simplement en « swipant » horizontalement (glissez le doigt de droite à gauche sur votre écran), de consulter la fiche caractéristique correspondant à un produit. Pour une expérience encore plus fluide !
  • Nouvelle fonctionnalité de mise en forme de la description de la fiche produit : vous aurez accès à une description de votre fiche produit, plus claire, plus simple à consulter avec notamment des textes en gras, soulignésen italique : ou même les trois !
Et d’autres correctifs et améliorations secondaires…

Découvrez la nouvelle version de notre application mobile TopCoach dès maintenant !

Flashez le QR code ci-dessous pour un téléchargement sur iOS et Android, et découvrez la nouvelle version de TopCoach.

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La data au cœur d’une UX in-store qui nous ressemble toujours plus https://preprod.top.coach/data-pertinente-au-coeur-de-l-ux-in-store/ Mon, 20 Dec 2021 14:50:51 +0000 https://top.coach/?p=19145 Avec des magasins traditionnels dits brick-and-mortar qui se portent bien et qui changent avec leur temps, la présence numérique et l’adaptation phygitale qui ont crû proportionnellement comme nous en avons déjà parlé dans cet article sur le contact en humain qui tient bon, quelles données pouvons-nous tirer de toutes ces expériences clients qui s’analysent comme une visite sur une page web ? Données, dit-on ? Oui, la fameuse data ! Un mot qui effraie encore bien des acteurs du secteur alors qu’ils auraient tout intérêt à s’y intéresser pour développer une stratégie toujours plus précise et efficace. Si elle ne date pas d’hier, elle est manifestement au cœur de ce qu’on appelle la data governance. Cette dernière améliore considérablement l’expérience client et la précision des opérations. Alors, pourquoi ceux qui s’y intéressent aujourd’hui prennent une longueur d’avance sur la concurrence, et augmentent donc leur chance de conversion et de rétention ? « Taradata », les vertus des données dans le retail Et dans nos enseignes préférées, qu’en est-il ? Apprenez-vous ici que vous utilisez déjà probablement ce qu’on appelle la first party data ? Que ce soit sur le lieu de vente, via votre logiciel de CRM (Customer Relationship Management, ou gestion de la relation client), un sondage, un programme de fidélité, une carte d’identification, etc. Vous avez sûrement déjà intégré, manipulé et utilisé de la data. Cela impressionne déjà moins ; même si vous risquez d’être impressionné par tout ce que la data peut offrir au retail. Nous nous intéressons ici qu’aux 1st party data ; en face des 2nd et 3rd party data. Ces first party data sont principalement déclaratives (nom, prénom, mail, donnée en sortie de caisse…) ou comportementales (analyse in situ des zones les plus visitées, par exemple). — Aparté sur ces données comportementales : nous ne sommes qu’à l’aube d’une utilisation plus poussée de ces datas grâce à des captations nettes du comportement client anonymisé. Grâce à des caméras thermiques ou 3D, on peut analyser le déplacement et sa vitesse, la prise en main d’un produit, les arrêts, heure d’arrivée et de départ, etc. — La first party data va notamment aider à piloter les performances, mais pas seulement grâce à l’intégration d’intelligences artificielles. Ces dernières vont optimiser la chaîne logistique par des analyses prédictives. Dès lors, les entreprises retail data driven ont un temps d’avance sur nos prochaines visites. Connaître l’UX pour mieux la personnaliser in-store Avec le data-in-store, le but est essentiellement prédictif. Par l’anticipation des comportements, l’analyse des succès en rayons, ou l’identification d’un ou des parcours client privilégiés ; on affine un espace et l’habille de façon optimale. Connaître ses produits vecteurs de réussite, c’est aussi mieux savoir gérer son espace de vente avec des PLV adéquates et favorisant en bout de chaîne la conversion vers laquelle tendent tous les retailers. Selon la typologie exclusive d’un rayon, on précise un espace qui n’aurait pas vocation à être généraliste. On améliore aussi la qualité du service avec une expérience client en accord avec des réussites tangibles ou celles qui le sont moins. Ces datas éclairent précisément le taux de conversion in-store avec le rapport comptage/arrivée en caisse. Et in-store, qu’avons-nous avec nous ? Une liste de course, probablement, un sac, aussi ; nous aurons sûrement et surtout notre smartphone ! Comment le savons-nous ? Vous aurez peut-être une battle qui vous attend. Alors, quand le retail traditionnel imite les e-commerçants : ça donne la naissance des beacons ! Ces balises naissent en fait par le consentement du client avec une application. Par Bluetooth ou Wi-Fi, on a un autre moyen de tracer efficacement le parcours du client, jusqu’au paiement grâce au NFC. C’est bien sûr un autre moyen d’absorber et d’utiliser les données d’affluence. Enfin, c’est le terrain du beacon marketing sur lequel on peut aider à la fluidité et la réussite d’une expérience client ou personnaliser un passage en rayon avec par exemple, une promotion en pop-up ou une publicité. La data sait aussi se gamifier La data sait aussi se gamifier, et se matérialiser notamment grâce à la réalité augmentée. On peut définir l’impact et l’efficacité d’une campagne sur la base d’une réalité augmentée sur smartphone. En gamifiant l’environnement augmenté et son contenu de marque, on profite des bienfaits de la gamification, mais aussi de la positivité d’un potentiel UGC (à découvrir ici) qui en naitrait, et on transcende l’UX avec un aspect transverse d’une séance de shopping. La data est donc le nerf d’une conversion in-store réussie.  On récolte, on analyse, et on adapte la data pour créer une meilleure UX. Si les moyens de les récolter sont aujourd’hui légion ; nous n’en sommes qu’au commencement de la data governance, qui n’est donc pas un vilain gros mot, et qui permet de créer une expérience en magasin toujours plus personnalisée et satisfaisante.  

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Avec des magasins traditionnels dits brick-and-mortar qui se portent bien et qui changent avec leur temps, la présence numérique et l’adaptation phygitale qui ont crû proportionnellement comme nous en avons déjà parlé dans cet article sur le contact en humain qui tient bon, quelles données pouvons-nous tirer de toutes ces expériences clients qui s’analysent comme une visite sur une page web ?

Données, dit-on ? Oui, la fameuse data ! Un mot qui effraie encore bien des acteurs du secteur alors qu’ils auraient tout intérêt à s’y intéresser pour développer une stratégie toujours plus précise et efficace. Si elle ne date pas d’hier, elle est manifestement au cœur de ce qu’on appelle la data governance. Cette dernière améliore considérablement l’expérience client et la précision des opérations. Alors, pourquoi ceux qui s’y intéressent aujourd’hui prennent une longueur d’avance sur la concurrence, et augmentent donc leur chance de conversion et de rétention ?

"Taradata", les vertus des données dans le retail

Et dans nos enseignes préférées, qu’en est-il ? Apprenez-vous ici que vous utilisez déjà probablement ce qu’on appelle la first party data ? Que ce soit sur le lieu de vente, via votre logiciel de CRM (Customer Relationship Management, ou gestion de la relation client), un sondage, un programme de fidélité, une carte d’identification, etc. Vous avez sûrement déjà intégré, manipulé et utilisé de la data. Cela impressionne déjà moins ; même si vous risquez d’être impressionné par tout ce que la data peut offrir au retail.

Nous nous intéressons ici qu’aux 1st party data ; en face des 2nd et 3rd party data. Ces first party data sont principalement déclaratives (nom, prénom, mail, donnée en sortie de caisse…) ou comportementales (analyse in situ des zones les plus visitées, par exemple).

— Aparté sur ces données comportementales : nous ne sommes qu’à l’aube d’une utilisation plus poussée de ces datas grâce à des captations nettes du comportement client anonymisé. Grâce à des caméras thermiques ou 3D, on peut analyser le déplacement et sa vitesse, la prise en main d’un produit, les arrêts, heure d’arrivée et de départ, etc.

La first party data va notamment aider à piloter les performances, mais pas seulement grâce à l’intégration d’intelligences artificielles. Ces dernières vont optimiser la chaîne logistique par des analyses prédictives. Dès lors, les entreprises retail data driven ont un temps d’avance sur nos prochaines visites.

Connaître l'UX pour mieux la personnaliser in-store

Avec le data-in-store, le but est essentiellement prédictif. Par l’anticipation des comportements, l’analyse des succès en rayons, ou l’identification d’un ou des parcours client privilégiés ; on affine un espace et l’habille de façon optimale. Connaître ses produits vecteurs de réussite, c’est aussi mieux savoir gérer son espace de vente avec des PLV adéquates et favorisant en bout de chaîne la conversion vers laquelle tendent tous les retailers. Selon la typologie exclusive d’un rayon, on précise un espace qui n’aurait pas vocation à être généraliste. On améliore aussi la qualité du service avec une expérience client en accord avec des réussites tangibles ou celles qui le sont moins. Ces datas éclairent précisément le taux de conversion in-store avec le rapport comptage/arrivée en caisse.

Et in-store, qu’avons-nous avec nous ? Une liste de course, probablement, un sac, aussi ; nous aurons sûrement et surtout notre smartphone ! Comment le savons-nous ? Vous aurez peut-être une battle qui vous attend. Alors, quand le retail traditionnel imite les e-commerçants : ça donne la naissance des beacons ! Ces balises naissent en fait par le consentement du client avec une application. Par Bluetooth ou Wi-Fi, on a un autre moyen de tracer efficacement le parcours du client, jusqu’au paiement grâce au NFC. C’est bien sûr un autre moyen d’absorber et d’utiliser les données d’affluence. Enfin, c’est le terrain du beacon marketing sur lequel on peut aider à la fluidité et la réussite d’une expérience client ou personnaliser un passage en rayon avec par exemple, une promotion en pop-up ou une publicité.

La data sait aussi se gamifier

La data sait aussi se gamifier, et se matérialiser notamment grâce à la réalité augmentée. On peut définir l’impact et l’efficacité d’une campagne sur la base d’une réalité augmentée sur smartphone. En gamifiant l’environnement augmenté et son contenu de marque, on profite des bienfaits de la gamification, mais aussi de la positivité d’un potentiel UGC (à découvrir ici) qui en naitrait, et on transcende l’UX avec un aspect transverse d’une séance de shopping.

La data est donc le nerf d’une conversion in-store réussie. 

On récolte, on analyse, et on adapte la data pour créer une meilleure UX. Si les moyens de les récolter sont aujourd’hui légion ; nous n’en sommes qu’au commencement de la data governance, qui n’est donc pas un vilain gros mot, et qui permet de créer une expérience en magasin toujours plus personnalisée et satisfaisante.

 

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