TOP 5 des conseils pour réussir le lancement de son app B2B.

Besoin de conseils pour réussir le lancement d’une app B2B ? Dans ce nouvel article consacré au sujet (cliquez ici l’article précédent), nous proposons 5 points clés à prendre en compte afin de garantir un bon lancement de projet. Nos tips couvrent un champ assez large allant de la nécessité de recruter et d’embarquer des relais au bilan de post-lancement. Bienvenue dans ce nouvel article !

ACTU : La démo TopCoach !

Via un formulaire à compléter, les personnes inscrites ont testé notre solution d’outil d’aide à la vente pour augmenter leurs performances de vente en magasin.

Page d’accueil personnalisée : 3 raisons de l’opter lorsque vous êtes vendeur

Le phygital a la cote et de nombreuses enseignes proposent leur lot d’expériences pour changer le rapport du public à l’achat : l’enjeu de la page d’accueil personnalisée. Dans un article du Journal du Net, Antoine Crochet-Damais met en évidence le fait que l’UX est trop souvent oubliée par les entreprises. Pourtant, l’expérience utilisateur n’a jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui.  Avec le sales enablement, le rapport au produit change, évolue et se diversifie en interne. Les forces de ventes se coordonnent sur smartphone et tablettes pour centraliser les connaissances des produits. Les vendeurs et les managers partagent la même information au sein de la même interface… d’où la nécessité de recourir à une page d’accueil personnalisée.  Pourquoi ? On vous explique tout dans cet article !  Alors installez-vous confortablement dans votre chaise et découvrez les trois raisons de recourir à une homepage personnalisée ! Raison 1 : Elle propose des fonctionnalités variées Un peu de contexte sur la page d’accueil​ avant de démarrer Tout comme l’écran d’accueil des plateformes de streaming, l’interface d’accueil regroupe les connexions des vendeurs et des managers sur leur outil d’aide à la vente. C’est ici que l’on retrouve les dernières nouveautés des produits et des informations sur les valeurs de la marque. Cette page d’accueil peut être personnalisée à la demande de la société pour améliorer l’UX et l’adapter à ses valeurs et à sa charte graphique. Les modifications apportées vont d’éléments basiques comme les couleurs de l’arrière-plan, à des éléments plus poussés comme la hiérarchisation du contenu affiché. Mais certains outils d’aide à la vente vont plus loin Ils diffusent l’information en proposant diverses fonctionnalités comme : des notifications personnalisées, des défis du jour, des jeux concours ou encore des catégories réservées aux gammes de produits. A la fois ludiques et engageantes, ces diverses options sont primordiales pour rendre cette page d’accueil dynamique, complète et interactive. Ainsi, même si l’application a la même base pour toutes les marques, les fonctionnalités ciblent leurs besoins spécifiques en y répondant grâce notamment au vidéo learning. Raison 2 : Elle permet un gain de productivité ! Avec la personnalisation de l’interface principale, la page d’accueil devient la vitrine de la société. Toutes les informations y sont hiérarchisées selon les priorités de l’entreprise qui peut choisir de valoriser les derniers produits sortis ou bien ses valeurs fondatrices. De facto, les forces de vente voient d’emblée l’information prioritaire, ce qui facilite leur compréhension des priorités de la boîte.  Avec les mises à jour régulières de la homepage, l’environnement de travail devient dynamique et intuitif. Ce qui impacte la productivité des forces de vente qui apprennent mieux les informations, et plus rapidement. Les vendeurs gagnent ainsi en performance commerciale et en connaissance produit. Raison 3 : Elle propose un autre rapport à la marque Mais au-delà de la productivité, la personnalisation de la homepage crée un engagement supplémentaire envers la marque. Les forces de vente ont davantage l’impression de faire partie d’une communauté. Elle propose une expérience différente du milieu entrepreneurial (cf intro) et amène une ludification des rapports interprofessionnels. L’ensemble des employés d’une même entreprise partage un élément en commun accessible depuis le smartphone ou la tablette : la homepage. De fait, les rapports hiérarchiques entre les équipes s’aplatissent. Les vendeurs ont davantage le sentiment de faire partie d’une entreprise qui leur correspond et dont ils partagent les valeurs et la direction artistique et visuelle. Les collègues deviennent ainsi des partenaires de jeux le temps d’une battle. Cet engagement est entretenu par la mise à jour régulière de l’application qui constitue un intérêt non négligeable pour fidéliser ses équipes sur le temps long. En somme, la homepage personnalisée offre une solution adaptée aux besoins des vendeurs. Elle constitue un enjeu stratégique pour les manager souhaitant fédérer les équipes en interne à l’aide de fonctionnalités variées et des informations accessibles au premier coup d’œil.

Le retail pharmaceutique 2022 : l’état de santé du secteur

En cette trouble période sanitaire (non, nous n’allons pas parler du Covid-19), parlons d’un eldorado commercial qu’est le marché du retail pharmaceutique 2022 ! Si l’offre pharmaceutique s’est développée de par ses leviers de distribution, celle concernant le sales enablement et l’information produit ne s’est pas réellement distinguée par l’innovation, et ce car le secteur est bien encadré. Chez TopCoach, on le sait bien, que ce soit sur notre application MyCoach (disponible gratuitement sur l’[App Store] ou sur le [Google Play Store]) pour les plus de 300 officines du groupe Leader Santé ; l’information produit est nécessaire pour toutes les équipes officinales. L’idée ? Regrouper tout un catalogue de produits définis appuyés de modules de formation gamifiés qui font désormais [l’expertise de TopCoach]. Car en somme, il n’y aurait pas de conseillers officinaux… sans de bons conseils à prodiguer. Plusieurs aspects font qu’il peut être difficile de se démarquer dans le monde du retail pharmaceutique et (para)pharmaceutique entre : L’abondance des sorties produits ; La forte compétitivité d’un secteur pharmaceutique monopolistique qui semble ébranlé ; Ou encore des nouvelles techniques de vente en ligne avec le retail pharmaceutique. Le b.a.-ba dans le retail pharmaceutique Commençons par revoir nos basiques sur cet univers qui nous concernent tous, mais qui reste relativement ésotérique. Qu’est-ce qui distingue une pharmacie d’une parapharmacie dans le retail pharmaceutique ? Que peut-on acheter ? Auprès de qui ? Pour distinguer ces deux lieux, une phrase vulgarise souvent leur différence principale : « La pharmacie, c’est pour se soigner. La parapharmacie, c’est pour prendre soin de soi ». L’officine ou retail dans la pharmacie : L’officine du retail pharmaceutique doit avoir à sa tête un docteur en pharmacie épaulé d’une équipe de préparateurs. Seuls ceux-ci peuvent fournir un [produit sous prescription médicale, ou soumis à l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)]. Qui peut le plus peut le moins, alors on trouve également tout autres types de produits disponibles sans ordonnance communément appelés OTC pour Over-The-Counter, ou « au-dessus du comptoir ». Le retail pharmaceutique en 2022 : Tandis qu’une parapharmacie ne peut pas vous procurer de médicaments, et elle n’est pas nécessairement tenue par un professionnel de santé. Vous y trouvez notamment des produits d’esthétique, des produits de soin ou des compléments alimentaires. Les médicaments et toutes les formes d’informations à leur sujet sont logiquement encadrés. En France, c’est notamment l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) qui s’en occupe. Chacune de ces formes, quelle que soit leur vocation (commerciale, promotionnelle, ou pédagogique… comme les modules de formation TopCoach) sont analysées et vérifiées précisément. Dans la description qui en est faite, il s’agit de toute forme d’information y compris le démarchage, de prospection ou d’incitation visant à promouvoir : La prescription ; La délivrance ; La vente ; Ou l’utilisation de ces dispositifs. Chaque promotion médicamenteuse doit formellement être accompagnée du Résumé des caractéristiques du produit (RCP) comportant notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques validées, les contre-indications, les précautions d’emploi, les effets indésirables, etc. Quant à l’étiquetage, il comprend notamment des informations nécessaires pour identifier le médicament (nom du médicament et de la substance active, dosage, forme pharmaceutique…. [D’autres informations concernant son utilisation] (date de péremption, conditions de conservation, pictogrammes conduite automobile…) y apparaissent aussi. Car le simple packaging d’un médicament ne suffit ni à convaincre le potentiel client ni à aider l’opérateur officinal à déceler les éléments d’information clé pour pusher un produit plutôt qu’un autre. Les gros retailers étouffent-ils les groupements pharmaceutiques ? Comme on peut le constater, on ne joue pas avec la santé des consommateurs ! De par sa nature vitale, le secteur du retail pharmaceutique est bien réglementé, et ne répond pas aux règles de vente ou de publicités traditionnelles du retail. Pourtant, c’est plus simple pour une grande surface implantée partout en France de créer une chaîne de valeur maîtrisée que pour une pharmacie indépendante et isolée, ou même un groupement de pharmacie. Dépendre d’un plus gros volume de produit facilite aussi le bradage des produits. Il faut donc comprendre un prix bradé aux dépens des magasins spécialisés, ici les officines ou le retail pharmaceutique. C’est d’ailleurs bien le créneau du groupe E.Leclerc qui a fait de son célèbre slogan « Tout ce qui compte pour vous existe à prix E.Leclerc » son fer de lance depuis toujours, et ce même sur le marché du retail pharmaceutique depuis les années 80. Si le groupe dirigé par Michel-Edouard Leclerc continue de chercher à rompre le monopole de la vente des médicaments, il est tout de même capable de vendre des produits parapharmaceutiques sans ordonnance sur ses points de vente depuis 1984. La lutte continue cependant ! D’un côté de E.Leclerc , représenté ici par le GALEC (Groupement d’Achats E.Leclerc) qui cherche à casser les prix pour une santé accessible, face à l’UDGPO (Union Des Groupements de Pharmaciens d’Officine). Cette dernière représente : 8 groupements adhérents ; Pour quelques 3000 pharmacies. Le [GALEC a été jugé et condamné en décembre 2021 pour publicité trompeuse], après avoir annoncé injustement que toutes leurs parapharmacies étaient tenues par un docteur en pharmacie. Les discordes entre les grandes surfaces et les officines se sont aussi intensifiées depuis l’arrivée du Covid-19 et la démocratisation, notamment, des autotests. Suivre l’essor du e-commerce dans le secteur du retail pharmaceutique : il faut mieux informer en ligne Quelque 600 officines ont déjà créé leur site de vente en ligne. Mais des experts du e-commerce se sont également lancés dans le grand bain de la parapharmacie. L’éviction d’un intermédiaire de vente qu’aurait été le magasin physique permet de proposer des tarifs grossistes en ligne. Cela met donc le médicament à la même place qu’un produit de grande consommation traditionnel. L’autorisation de se présenter en ligne comporte quand même un cadre de vente uniformisé à l’échelle européenne, et encore plus spécifique en France. Voici certaines grandes lignes de la réglementation qui sont rappelées par le Ministère des Solidarités et de

Comment maintenir de l’enjeu dans votre jeu ?

La pandémie de Covid-19, et les mesures qu’elle exige de déployer, a de fait ralenti, voire brisé le lien que les enseignes et les marques avaient avec leur clientèle. Ce n’était plus possible d’échanger et d’interagir en magasin. Pourtant, n’est-ce pas ce qu’un consommateur vient y chercher ? La preuve en est, malgré l’explosion des usages sur certains sites e-commerce pendant cette crise sanitaire, le canal de vente le plus utilisé reste l’achat en magasin à 77 %.

Les nouveautés sur l’application de janvier 2022

Découvrez toutes les nouvelles fonctionnalités de notre application. Nous accordons une importance capitale à l’amélioration et l’innovation de cette dernière afin de vous faire profiter de la meilleure expérience utilisateur possible.

La data au cœur d’une UX in-store qui nous ressemble toujours plus

Avec des magasins traditionnels dits brick-and-mortar qui se portent bien et qui changent avec leur temps, la présence numérique et l’adaptation phygitale qui ont crû proportionnellement comme nous en avons déjà parlé dans cet article sur le contact en humain qui tient bon, quelles données pouvons-nous tirer de toutes ces expériences clients qui s’analysent comme une visite sur une page web ? Données, dit-on ? Oui, la fameuse data ! Un mot qui effraie encore bien des acteurs du secteur alors qu’ils auraient tout intérêt à s’y intéresser pour développer une stratégie toujours plus précise et efficace. Si elle ne date pas d’hier, elle est manifestement au cœur de ce qu’on appelle la data governance. Cette dernière améliore considérablement l’expérience client et la précision des opérations. Alors, pourquoi ceux qui s’y intéressent aujourd’hui prennent une longueur d’avance sur la concurrence, et augmentent donc leur chance de conversion et de rétention ? « Taradata », les vertus des données dans le retail Et dans nos enseignes préférées, qu’en est-il ? Apprenez-vous ici que vous utilisez déjà probablement ce qu’on appelle la first party data ? Que ce soit sur le lieu de vente, via votre logiciel de CRM (Customer Relationship Management, ou gestion de la relation client), un sondage, un programme de fidélité, une carte d’identification, etc. Vous avez sûrement déjà intégré, manipulé et utilisé de la data. Cela impressionne déjà moins ; même si vous risquez d’être impressionné par tout ce que la data peut offrir au retail. Nous nous intéressons ici qu’aux 1st party data ; en face des 2nd et 3rd party data. Ces first party data sont principalement déclaratives (nom, prénom, mail, donnée en sortie de caisse…) ou comportementales (analyse in situ des zones les plus visitées, par exemple). — Aparté sur ces données comportementales : nous ne sommes qu’à l’aube d’une utilisation plus poussée de ces datas grâce à des captations nettes du comportement client anonymisé. Grâce à des caméras thermiques ou 3D, on peut analyser le déplacement et sa vitesse, la prise en main d’un produit, les arrêts, heure d’arrivée et de départ, etc. — La first party data va notamment aider à piloter les performances, mais pas seulement grâce à l’intégration d’intelligences artificielles. Ces dernières vont optimiser la chaîne logistique par des analyses prédictives. Dès lors, les entreprises retail data driven ont un temps d’avance sur nos prochaines visites. Connaître l’UX pour mieux la personnaliser in-store Avec le data-in-store, le but est essentiellement prédictif. Par l’anticipation des comportements, l’analyse des succès en rayons, ou l’identification d’un ou des parcours client privilégiés ; on affine un espace et l’habille de façon optimale. Connaître ses produits vecteurs de réussite, c’est aussi mieux savoir gérer son espace de vente avec des PLV adéquates et favorisant en bout de chaîne la conversion vers laquelle tendent tous les retailers. Selon la typologie exclusive d’un rayon, on précise un espace qui n’aurait pas vocation à être généraliste. On améliore aussi la qualité du service avec une expérience client en accord avec des réussites tangibles ou celles qui le sont moins. Ces datas éclairent précisément le taux de conversion in-store avec le rapport comptage/arrivée en caisse. Et in-store, qu’avons-nous avec nous ? Une liste de course, probablement, un sac, aussi ; nous aurons sûrement et surtout notre smartphone ! Comment le savons-nous ? Vous aurez peut-être une battle qui vous attend. Alors, quand le retail traditionnel imite les e-commerçants : ça donne la naissance des beacons ! Ces balises naissent en fait par le consentement du client avec une application. Par Bluetooth ou Wi-Fi, on a un autre moyen de tracer efficacement le parcours du client, jusqu’au paiement grâce au NFC. C’est bien sûr un autre moyen d’absorber et d’utiliser les données d’affluence. Enfin, c’est le terrain du beacon marketing sur lequel on peut aider à la fluidité et la réussite d’une expérience client ou personnaliser un passage en rayon avec par exemple, une promotion en pop-up ou une publicité. La data sait aussi se gamifier La data sait aussi se gamifier, et se matérialiser notamment grâce à la réalité augmentée. On peut définir l’impact et l’efficacité d’une campagne sur la base d’une réalité augmentée sur smartphone. En gamifiant l’environnement augmenté et son contenu de marque, on profite des bienfaits de la gamification, mais aussi de la positivité d’un potentiel UGC (à découvrir ici) qui en naitrait, et on transcende l’UX avec un aspect transverse d’une séance de shopping. La data est donc le nerf d’une conversion in-store réussie.  On récolte, on analyse, et on adapte la data pour créer une meilleure UX. Si les moyens de les récolter sont aujourd’hui légion ; nous n’en sommes qu’au commencement de la data governance, qui n’est donc pas un vilain gros mot, et qui permet de créer une expérience en magasin toujours plus personnalisée et satisfaisante.  

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